
Parmi les techniques de restauration dentaire, il y a le plombage. Il est connu depuis les premières périodes de la denturologie et le public connut un moment de doute à son sujet avec la rumeur d’une toxicité liée à l’existence de mercure dans sa composition. Le progrès de la médecine dentaire a fait son chemin, aussi allons-nous aujourd’hui mettre à jour les connaissances au sujet du plombage dentaire.
L’obturation dentaire en général
Le plombage est une technique utilisée dans la procédure d’obturation dentaire. Dans le but de faire face aux différents types de dommages dentaires dus à l’usure, aux caries et aux accidents, la gamme des types de soins dentaires est impressionnante mais dans sa liste de prestations, un cabinet dentaire ne peut que proposer le plombage. On peut se rendre sur le site web de la clinique dentaire à Genève, Chantepoulet, pour s’en rendre compte. L’obturation dentaire est une technique de comblement qui peut se faire au moyen d’une diversité de matériaux dont notamment la résine composite, la porcelaine, les alliages avec des métaux précieux et l’amalgame que le public a l’habitude de considérer comme du plomb. On parle aussi d’obstruation dentaire. Dans tous les cas, le patient a le droit d’exprimer ses préférences avant que le dentiste décide du type de remplissage à choisir suivant le cas qui se présente.
Les différents cas traités avec le plombage
Le plombage est toute technique de comblement de cavités dentaires. Les cavités sont là parce que les bactéries confinées dans les caries ont eu le temps de trouer les dents ou parce que, n’ayant pas encore eu le temps de faire des trous, elles doivent être éliminées pour ne pas prendre de l’ampleur et cela va laisser du vide à combler. Dans ce cas, le dentiste doit retirer d’abord les zones cariées afin d’éliminer tout foyer de bactéries pouvant contaminer son entourage, puis procédera au comblement. Elles sont là aussi parce que des chocs ont eu raison de la résistance de l’émail. Le replombage peut par ailleurs être nécessaire pour les vieilles obturations dont le matériau de plombage s’est fortement détérioré. La précision va être donnée ici maintenant au sujet du mot plombage. En fait, il n’a rien à voir avec le plomb mais se constitue d’amalgame. Ce dernier est un alliage de matériaux dont les plus utilisés sont l’étain, l’argent, le cuivre et le mercure. Le plombage moderne fait appel au composite qui est un matériau inorganique et biocompatible.
Les différents types de plombage
Il y a d’un côté le plombage blanc dont la couleur s’efforce de s’uniformiser avec l’émail dentaire. C’est le composite. Son composant principal est la résine durcie aux UV. C’est un matériau sain qui en plus de permettre la restauration esthétique d’une dent possède une propriété d’isolation thermique qui protège les nerfs des chaleurs élevées introduites en bouche. Son inconvénient réside dans la possibilité de jaunir suivant l’alimentation et l’hygiène buccale du patient. Il y a de l’autre côté le plombage gris qui ressemble au plomb mais qui est en fait l’amalgame. En raison de son esthétique et sa haute durabilité, il est surtout destiné aux dents postérieures. Sa trop grande solidité peut causer la fracture de la dent porteuse à la longue. Du fait de l’existence de mercure dans sa composition, il est évité par certains patients et certains cabinets dentaires. A un cabinet comme la clinique dentaire à Genève, Chantepoulet, vous pourrez confier votre souci à ce sujet et accepter ou ne pas accepter le plombage gris.
Le plombage dentaire est toute méthode utilisée pour obstruer une cavité qui relève de l’affection dentaire, c’est-à-dire due aux caries, à un choc ou à un trauma. Son appellation plombage fait allusion à la couleur grise de l’amalgame, matériau qui contient du mercure entre autres, mais il faut savoir que le comblement par composite s’appelle aussi plombage et est entièrement sain et esthétique.